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Alain Plombat croit en une presse régionale multi-supports
Par Vincent Tridon

6 juillet 2006 /

Alain Plombat est devenu le président du directoire des Journaux du Midi (groupe Le Monde) le 9 juin dernier. Trente
ans après sa sortie de l’IUT de Bordeaux, c’est l’occasion de faire le point sur l’évolution de la presse
quotidienne régionale et d’envisager son avenir.



Alain Plombat est diplômé de l’IUT de journalisme en 1976 (formation en deux ans). Né le 26 octobre 1955. Interview réalisée le mardi 27 juin 2006, par téléphone.

La fin d’un cycle.

Quand je suis entré à Midi Libre, à la fin des années 70, c’était la fin du premier cycle de la presse
quotidienne régionale. Mes prédécesseurs avaient surfé sur les Trente Glorieuses, de la Libération
au premier choc pétrolier. C’étaient les années de monopole, pas au sens politique du terme, mais au
sens sociologique, économique du terme. L’information de proximité, l’information locale et
régionale n’était diffusée qu’à travers les supports qu’étaient les quotidiens régionaux. A l’époque, il
faut se rappeler que les radios locales n’existaient pas. Il n’y avait que quelques stations
périphériques : RTL, Europe 1, etc. ; deux ou trois chaînes de télévision - une télévision d’état. Nous
avions un lectorat totalement captif. C’est ce qui correspond un petit peu, selon moi, à un âge d’or de
la presse quotidienne régionale (PQR).

Tout a basculé au début des années 80. D’abord les radios locales sont arrivées, en particulier les
stations de Radio France qui se sont multipliées. Puis les stations de télévion ont ouvert des
décrochages locaux : FR3, M6 ; on a vu l’émergence de correspondances télé comme TF1.
Pendant ce temps, certains journaux nationaux se sont ouverts aux régions. A présent, de plus en plus de
collectivités territoriales font des publications qui donnent de l’information locale. Des
hebdomadaires locaux se créent également : à Montpellier, nous avons un concurrent, La Gazette,
qui marche bien. Bref, c’est tout un ensemble de nouveaux médias qui viennent sur le terrain de la
proximité.

Tout cela nous a plongés dans un tunnel qui nous amène vers un second cycle qui s’ouvre
actuellement sous la poussée d’internet, sous la poussée de la presse gratuite, et qui va être le cycle
du nomadisme en termes d’information. C’est-à-dire que d’un lectorat captif nous passons à un
consommateur qui veut l’information quand il veut, où il veut, sur le support qu’il veut. Ce sera du
papier, de l’internet, de la télévision locale, de la téléphonie. C’est ça l’évolution fondamentale.
On a vu un paysage tourmenté, en recomposition, et aujourd’hui ce qui se dessine c’est la fin de
cette recomposition, avec l’info transversale et les réseaux qui se créent. Il ne faut plus être
monosupport comme nous le sommes, il faut être plurisupport.

L’évolution des supports.

Il faut tout de même garder en tête que c’est la presse quotidienne payante qui nous rapporte 90% du
chiffre d’affaires du groupe [1]. Les diversifications ne comptent que pour 10%. En revanche, on
peut penser que le bénéfice dégagé va être supérieur. Tout cela évolue très progressivement.
On sait que notre « fonds de commerce », pour l’instant et pour quelques années encore, va rester la
presse quotidienne payante. Néanmoins on a senti depuis cinq, six ans qu’il fallait vraiment
s’intéresser à internet. Donc, on a avancé avec prudence et détermination.

Cela commence par chercher à savoir ce qu’attendent les internautes : ils veulent de l’info mais aussi
du service. C’est pour ça que, en plus de midilibre.com, on a jobdumidi.com pour l’emploi,
immodumidi.com pour l’immobilier, villesdumidi.com pour le tourisme, etc. [2]. On va passer à la
phase supérieure dans les mois qui viennent avec la vente du journal en PDF, avec la vente de
bouquets thématiques, mais tout ça au moyen de structures assez légères, finalement.

Sur le côté presse pure, nous avons décidé d’anticiper l’arrivée d’un gratuit sur Montpellier et de
créer notre propre gratuit qui est Montpellier Plus. Nous devons occuper le terrain pour que
20Minutes ou Metro ne nous piquent pas le marché publicitaire. Aujourd’hui, on tire 25 000
exemplaires de ce gratuit qui est distribué sur la ligne du tramway.

Notre ligne directrice, c’est d’anticiper sans perdre de vue que le marché dominant reste encore pour
une bonne décennie, voire deux, voire trois, la presse quotidienne payante. Moi, je ne m’inscris pas
dans les Cassandre qui disent : « c’est la fin de la presse quotidienne payante ». A mon avis, elle
gardera un impact très fort, mais elle sera complétée par les informations qui iront sur le net, que
nous allons d’ailleurs faire payer à partir de septembre, et on gardera la presse quotidienne gratuite
dans les grands centres-villes afin d’avoir un autre marché publicitaire que celui que nous avons.
Les annonceurs veulent un lectorat plus jeune que la PQR, et toutes les enquêtes montrent que le
gratuit touche les 15-35 ans. En presse payante, vous commencez à aller chercher vos vrais lecteurs,
vos vrais acheteurs surtout, au-delà de 40 ans. Enfin, on développera de la téléphonie et de la télé
locale.

Encore une fois, tout ça s’inscrit dans un cycle. Ce n’est pas d’un coup : « bon, la presse quotidienne
ne vaut plus rien on va vers les autres médias ». Midi Libre, c’est là encore que s’activent 250
journalistes. Sur internet, ils sont 3 et sur Montpellier Plus, 5. Simplement, cela va évoluer.

Des familles aux groupes.

Les familles historiques qui ont fondé les journaux à la Libération, ou qui les ont refondés, ont
éclaté. Il y a eu deux générations : celle des fondateurs et celle des héritiers, et aujourd’hui nous en
sommes quasiment à la troisième génération. Elle n’a pas forcément les mêmes valeurs ni les
mêmes convictions que les pionniers, la plupart ont voulu réaliser leurs actifs, donc vendre le
patrimoine. Ces héritages s’étant disloqués, des groupes structurés les ont rachetés petit à petit.
Quelle est la logique de ces groupes ? En tous cas, pour le groupe Le Monde, notre actionnaire de
référence, c’est de continuer à diffuser, à mettre à la disposition des lecteurs de bons journaux.

Néanmoins, il y a une concurrence exacerbée actuellement avec tous les médias que je citais
précédemment, donc nous sommes convaincus qu’il faut baisser le coût de fabrication de ces
journaux. Un journal comme Midi Libre, que nous vendons 0,80 euro, il faut savoir qu’il coûte à
fabriquer 1,58 euro. Autrement dit, c’est un produit, ça ce n’est pas nouveau, qui est foncièrement
déficitaire. C’est la publicité qui permet d’équilibrer les comptes et de dégager des marges
bénéficiaires. Mais nous avons des investissements très lourds, nous avons des charges salariales
très lourdes aussi, puisqu’elles pèsent plus de 42%, donc si nous pouvons trouver des synergies qui
nous permettent, avec un modèle économique un peu plus performant, à la fois de continuer à
exercer notre métier dans de bonnes conditions et de poursuivre notre développement, nous le
ferons.

Les groupes ont cette logique, qui n’est pas nécessairement une logique capitalistique. Quand un
groupe de presse, comme le nôtre, dégage 5% de rentabilité, nous sommes contents. Avec les fonds
de pension c’est 15%, et les groupes capitalistiques purs et durs, c’est au moins 12%. On voit bien
qu’on n’est pas dans une équation purement libérale. Mais il faut assurer une rentabilité de 5%. C’est
le minimum pour avoir un modèle social intéressant pour les collaborateurs, pour pouvoir investir
soit dans les nouveaux médias, soit dans le renouvellement des rotatives, soit dans les systèmes
informatiques ou autres, et enfin rémunérer modérément l’actionnaire de base. Ce n’est pas un
mécène. On le voit actuellement avec Edouard de Rothschild à Libération. Il veut bien mettre de
l’argent, il peut se contenter d’une faible rentabilité, mais il ne faut pas que ça lui coûte à la sortie.

On ne peut pas dire, dans une sorte de vision un peu ingénue, que ce sont des monstres
capitalistiques qui font main basse sur la presse. J’allais dire : heureusement que des grands groupes
de la profession continuent à investir, à acheter ces journaux qui étaient familiaux, patrimoniaux,
parce que sans cela, si ce sont des groupes uniquement financiers qui mettent la main dessus, je me
fais du souci pour nos confrères.
Mouvement dans la presse sur le bassin méditerranéen [3].
Quand le groupe Le Monde veut être acteur sur la façade méditerranéenne en constituant ce qu’on
appelle ici le « pôle sud » [4], qui nous permettrait d’avoir un rayonnement de l’Italie à l’Espagne,
cela répond à une nécessaire cohérence sociologiqueet économique.

Il ne sagit pas de fusionner les rédactions. En revanche, le but de la manoeuvre c’est de dire : « si
nous voulons investir lourdement sur internet, si nous voulons investir dans les télés locales, si nous
voulons proposer aux publicitaires des produits qui permettent de balayer toute la façade
méditerranéenne, nous avons intérêt à tisser ces partenariats ». Mais j’insiste : il s’agit d’un
partenariat, pas d’une fusion. Chacun doit garder son identité et ses savoir-faire. Cependant,
aujourd’hui nous ne pouvons pas rester enclavés dans nos territoires respectifs. Un partenariat nous
permettra de dégager des moyens et de mutualiser des investissements. Seuls, nous sommes
condamnés à l’inertie, et peut-être à la disparition.

C’est aussi une façon de mieux résister à des groupes comme 20Minutes ou Metro, qui sont des
multinationales de la presse. Je préfère travailler avec le réseau Ville Plus : nous pouvons avoir des
échanges pertinents avec nos confrères de Bordeaux 7 ou de Marseille Plus.

Vendre plusieurs fois le contenu.

L’objectif est donc d’évoluer vers le multisupport, parce qu’on peut alors mutualiser les contenus et
vendre plusieurs fois le gisement d’informations. C’est important, ça. Hier, nous étions dans une
logique monoproduit : on avait une rédaction qui travaillait pour un journal. Aujourd’hui, nous
devons avoir une rédaction qui est plurimedias : le reporter qui rentre d’une conférence de presse du
président de la Région, par exemple, peut et devra, dans les années qui viennent, envoyer un petit
flash de cinq lignes sur internet en disant : « voilà les investissements qui ont été présentés par le
président de la Région ». Là il satisfera la curiosité immédiate de l’internaute. Eventuellement, son
petit flash ira sur la téléphonie parce que nous aurons déclenché un système d’alerte, et peut-être sur
une télé locale pour donner à chaud son impression. Ce n’est que le lendemain, dans le journal, que
l’on aura l’expertise et le compte-rendu complet de la conférence de presse. Vous voyez bien qu’on
trouve trois ou quatre gisements financiers, commerciaux avant même le produit définitif qu’est le
quotidien régional. C’est ça qui permettra d’assurer de la rentabilité à nos journaux et d’assurer leur
pérennité. Une rédaction dédiée à un seul support, je pense que ça va devenir très compliqué dans
les années qui viennent. Donc il faut que cette rédaction en irrigue plusieurs.

On est en train d’étudier des offres diversifiées. Prenons le cas d’un jeune. Je vais être caricatural : il
veut l’info locale sur le rugby parce qu’il joue dans un club, il veut l’info économique parce qu’il suit
des études de sciences éco, et il veut accessoirement les infos spectacles de sa ville. Nous serons à
même de lui proposer, avec un abonnement plus modique que l’abonnement du journal 365 jours
par an, des mots-clefs, et avec ces mot-clefs il pourra avoir tous les articles de nos éditions
concernant le rugby, les spectacles et les infos économiques.

Plutôt que le produit total, nous lui proposerons des informations segmentées qui correspondent à
ses centres d’intérêt. Il n’aura pas à se payer les pages d’actualité de villages si cela ne l’intéresse pas
et s’il n’est pas du tout enraciné, même chose pour les « infos géné ».

Je pense que nous ensemençons pour l’avenir. Quand on fait du gratuit, du web thématique, on se
dit que, quand même, quand cette personne aura 35, 40 ans, qu’elle aura fondé une famille, elle ne
trouvera pas forcément les informations qui lui conviennent dans ces médias de l’immédiat, si je
puis dire. Elle cherchera peut-être plus d’expertise, plus de densité, de fond, dans le quotidien
régional. C’est le pari que nous faisons, de le récupérer derrière. Nous aurons créé chez lui le réflexe
de lecture. Je crois que nous sommes en train de bâtir un écosystème où chaque média se nourrit de
l’autre. Et finalement, l’intérêt et l’audience pour l’information augmentent et cela nous permet
d’avoir un modèle économique rentable.

Le fait de réfléchir au multisupport implique de repenser aux dispositifs de droits d’auteur. Ils ont
été créés à une époque du monosupport. Mais aujourd’hui, s’ils deviennent bloquants pour le
développement des titres, ça posera un problème. Il faut sans doute songer à une adaptation du
système au nouveau paysage médiatique et à cette démarche plurimédias dont nous venons de
parler [5].

Polyvalence et expertise des journalistes.

Le marché du travail est en devenir. Il y a un véritable appétit pour l’information, en France comme
ailleurs. Le problème c’est qu’on était sur un modèle avec trois médias dominants : la presse écrite
payante, la radio et la télévision. Aujourd’hui, l’arrivée de l’internet et de la presse gratuite
bousculent tout.

Je suis convaincu que le journalisme a deux pistes qui s’ouvrent devant lui. Il y aura ces journalistes
immédiats, qui travailleront dans des médias très réactifs, avec une certaine polyvalence, parce qu’il
faudra être à la fois homme de papier, homme d’internet, et peut-être homme d’écran. Et puis il y a
ceux qui seront dans une branche beaucoup plus experte, dans des domaines précis, économie,
sciences, culture... En même temps, se dire aujourd’hui qu’on ne travaillera que pour un seul
support, je crois que c’est une vision dépassée. Il va falloir être multisupport, qu’on le veuille ou
non. C’est-à-dire être aussi agile que possible. Je ne dis pas flexible, mais on doit savoir que quand
on rentre d’une interview, il y a l’immédiateté de ce qu’on a recueilli et puis derrière il y a tout ce
qu’on va dérouler.

Cela suppose une formation adaptée, en prenant conscience tout de même que l’information doit
répondre à des centres d’intérêt. On a peut-être trop souffert de ce qu’on appelait des « journaux de
journalistes », conçus dans une sorte de microcosme. On se faisait plus plaisir entre nous, en
oubliant d’envisager la satisfaction du lecteur.
Il faut aussi penser que derrière le journal, la radio, il y a une personne qui a été bombardée
d’informations. Les citoyens sont surinformés. Sont-ils pour autant bien informés ? C’est un autre
débat. Nous devons sûrement gagner en fiabilité, en crédibilité. On a peut-être trop joué sur le
sensationnalisme, la sensibilité.

Je suis donc à 100% pour la formation en école, d’abord parce que rien n’est pire que l’information
qui n’est pas hiérarchisée, qui n’est pas travaillée, qui n’est pas collectée par des professionnels. Je
pense surtout que nous devons être des passeurs aux sens pédagogique et générationnel. C’est un
cliché de dire que le temps s’accélère, néanmoins tout va très vite et par exemple en sciences, en
économie il faut avoir des connaissances pointues pour pouvoir donner à des générations qui n’ont
pas eu accès à la genèse des dossiers l’essentiel de l’information, dire en quoi ça va changer leurs
vies, en quoi c’est déterminant.

Les écoles sont plus utiles encore aujourd’hui qu’il y a trente ans, parce que le métier, à l’image de la
société, est devenu plus complexe. Autant la formation sur le tas était concevable à l’époque, autant
je pense qu’aujourd’hui le filtre de l’enseignement est nécessaire, pour montrer l’évolution de
l’environnement à ces futurs confrères, leur expliquer la spécificité de chaque média, et voir aussi
tout le travail qu’il y a à faire en amont sur l’information.

Journalisme et gestion d’entreprise.

On a parlé de l’évolution de la presse, dans son contenu et dans son organisation. Les deux aspects
sont aussi essentiels l’un que l’autre. Autrement dit, il faut que les journalistes ne se désintéressent
pas de la gestion de leur société. Je suis devenu un « mutant » par des chemins de traverse, mais si
les journalistes se réfugient derrière l’attitude un peu hautaine et dédaigneuse : « moi je suis un
créatif, je fais mon papier et la gestion de la boîte, ça ne m’intéresse pas », ils vont vers de grosses
déconvenues, ou vers une gestion d’entreprise qui sera une gestion d’énarque ou de polytechnicien.

Il est important de prendre conscience qu’il est plus profitable que ce soient des journalistes qui
dirigent les journaux. En tous cas, c’est la philosophie du groupe Le Monde, et je crois qu’elle
devrait être partagée.

Si un manager doit évoquer la situation d’un service, il n’aura pas tout à fait le même regard s’il est
journaliste ou pas. Quelqu’un qui ne l’est pas regardera l’effectif, la rentabilité, les critères habituels.
Un journaliste aura une sensibilité supplémentaire. Il aura peut-être moins de connaissances
purement économiques, mais il pourra dire : « oui, mais là je peux comprendre que dans tel service
il faille six personnes » là où l’autre aurait dit : « avec trois, ça suffira ».

C’est primordial d’avoir ce regard, parce que l’information n’est pas une marchandise comme les
autres, même si le journal est un produit commercial.


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[1Le groupe Les Journaux du Midi (Groupe Le Monde) édite les quotidiens Midi Libre, L’Indépendant et Centre Presse, ainsi que le gratuit Montpellier Plus.

[2Le portail du groupe Les Journaux du Midi : http://www.journauxdumidi.com

[3Lire l’article du Ravi, mensuel indépendant diffusé sur la Côte d’Azur, repris par l’association
Acrimed : http://www.acrimed.org/article2370.html

[4Le « pôle sud » consiste en un partenariat entre le groupe Midi Libre, le groupe La Provence et le groupe Nice-Matin.

[5Ce point fera l’objet d’une étude particulière pour la rentrée prochaine sur ce site.









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